Je signe cette note de recherche avec Violaine Appel dans le numéro 35/2 de la revue Communication.

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Résumé

Partant de l’impact et les responsabilités des universités vis-à-vis de la société, les auteurs affirment que la communication scientifique répond aujourd’hui aux « mêmes impératifs que la communication générale : c’est-à-dire il faut être rapide, lisible et performant ». Dans le cadre du paradigme d’une écologie des dispositifs médiatiques à l’ère numérique, ils soulèvent la question suivante : des notions telles que l’environnement et l’empreinte peuvent-elles se révéler heuristiques ? Les universités ont-elles par exemple une responsabilité dans le fait d’encourager ou non le recours à des services tels que Google, Facebook ou Wikipédia ?